Je suis une petite brunette de vingt trois ans et je m'appelle Nikki Summer, mais plus précisément Nikkita Julianna Summer. Je suis une australienne qui a toujours vécu là-bas avant de venir ici afin de vivre ma nouvelle vie loin de mes problèmes. Je suis célibataire mais depuis peu. Je suis née le seize juin à Canberra.

Je me réveille dans le brouillard, je bois mon café en était installé confortablement sur mon lit en face de ma télévision et je zappe. Quand soudain une idée me vint en tête. Je devais quitter l'homme qui comptait tant pour moi depuis bientôt trois ans. Pourquoi devais-je le quitter ? Tout simplement, car il m'avait trompé, moi aussi que j'étais enceinte d'un autre et que je l'aimais tellement que je ne voulais pas le faire souffrir. Il était toujours allongé dans notre lit, je le regardais dormir il était tellement beau. J'étais accro ? Certainement et cela n'allait pas en s'améliorant mais j'avais promis que je n'avorterais pas, je me devais de tenir promesse. Le père de mon enfant ? Un parfait inconnu ? Certainement pas, je ne suis pas ce genre de fille à couché à tout va, j'aime certes être proche des hommes et m'amuser avec eux mais rien de trop "pétasse" pour autant. Le père était donc mon meilleur ami, il était en couple avec une jeune femme qui ne voulait pas faire l'amour avant le mariage et bien sûr une fois nous avions couchés ensemble. Ce moment je préfère l'oublié non pas qu'il était horrible loin de là mais plutôt que je me devais de l'oublier pour mon petit ami.

Alors qu'il commençait à ouvrir un oeil et venir vers moi pour m'embrasser, je me recula un peu. Bien sûr il n'avait pas compris, m'avait questionné mais n'avait pas bronché pour autant. Là ce fut un coup de bassu qu'il reçu sur la tête, je lui devais la vérité.
Je t'aime ! Je suis enceinte ! Mais d'un autre ! j'avais enchainé cette phrase à une vitesse qu'il n'eut même pas le temps de m'interrompre. Il me regardait larmes aux yeux, il pensait que tout cela était une vengeance mais pas du tout, un pur hasard.
Je t'aime ! Je te pardonne ! On l'élèvera ! J'étais restée bouche bée lorsqu'il avait dit ça, j'en revenais pas qu'il pense cela, mais je fus pas déçue d'entendre la suite. En fait non, tu es une garce ! Tout est fini ! Prends tes affaires pour la Nouvelle Zéland, je te rejoindrais pour te voir comment je suis heureux sans toi. Cette fois-ci c'est de mes yeux que les larmes coulaient, je le regardais en me levant pour prendre mon sac et mettre toutes mes affaires dedans. Puis il m'aida à franchir la porte rapidement.