Erwan Alexander Sanchez~25 ans~16 Mai 1985~Français & Anglais~Dragueur, Séducteur, Chiant, Sympathique, Colérique, Energique, Manipulateur.

«Je m’appelle Erwan Alexander Sanchez, je suis né le 16 mai 1985 à Londres. Je suis de nationalité Français et Anglaise, un mélange assez spécial. Mon père ainsi que toute sa famille sont Français, ma mère à des origines Française mais Anglaise aussi. Je suis donc né en Angleterre plus précisément à Londres. Mes parents ne m’ont jamais beaucoup apprécié pour eux je n’étais que la misère de la maison, j’étais le plus grand et celui qui n’avais plus rien à faire dans cette maison. Ils voulaient continuer leurs vie sans moi, en effet ils préféraient mes sœurs à moi, pourtant je faisais ce qu’ils me demandaient je ne rentrais pas après l’heure de l’extension des feux, non j’étais un homme sage, mais ils ne m’aimaient pas et ca je ne savais pas pourquoi. Ils ont surement du apprendre quelques choses qu’ils ne devaient pas savoir. En effet quand j’étais jeune j’aimais tellement poser, danser enfin faire de la musique, guitare, batterie faire du bruit pour eux. Donc je continuais à aller à l’école après tout j’étais obligé et rien ne pouvais m’en empêcher. Même si parfois de sécher me dérangerais pas, mais non j’étais un jeune homme sage qui allait à l’école comme tous les autres, je ramenais des bonnes notes pourtant cela n’avait pas l’air de leur plaire. Ils voulaient toujours plus, pourtant je passais déjà la moitié de ma soirée à réviser, à faire mes devoirs. J’en avais marre au final ils arrivaient à me dégouter de l’école. Parfois je ne rentrais pas tout de suite chez moi j’allais chez mon amie qui était ma voisine. J’étais souvent puni pour ne pas rentrer à l’heure. Et quand j’arrive à l’âge de treize ans, je commençais à me rebeller, je n’étais plus le petit qui était soumis qui devait écouter ce qu’on lui disait. Non j’avais décidé de changer, de leur faire comprendre que je n’étais pas leur bonne, que j’étais leur fils qu’ils devaient aimer ou non, et que s’ils continuaient comme ça je partirais. Où ? Bonne question. Je disais ca en rigolant au début, et plus les jours passaient plus je me disais que j’allais finir par le faire. Un jour ou je rentrais comme tous les jours) l’heure, je montai directement dans ma chambre. Je vidai mon sac de cour, et mit quelques habits à l’intérieur. Je descendis discrètement et piqua quelques fruits, de la nourriture et une bouteille d’eau. Je mis tout ça dans mon sac, et je pris mon petit manteau que je mis et je sortie de la maison rapidement. Laissant la clé sur la table, et je me mis à marcher pendant de longue minute. Le froid commençait à se faire sentir, l’hiver allait arriver. Heureusement j’avais tout prévue, je sortis de mon sac un petit bonnet péruvien de couleur blanc avec des pompons sur les bouts. Je n’avais que treize ans et demi que ceci se passa. Et pourtant rien ne changea à ma vie, rien ne changea du coté de mes parents…

J’étais partie loin de chez moi, je voulais aller chez mes grands-parents eux au moins ils s’occupaient de moi, t je savais très bien que je pouvais compter sur eux sans problème. Ils n’étaient plus vraiment en bon termes avec mes parents, en fait depuis qu’ils ont eu ma deuxième sœur ce n’est pas compliqué ils ont changés en peu de temps et sont devenue horrible. Pour moi mes parents ne sont pas mes vrais parents, je me demande encore comment j’ai pu les aimer. J’arrivai alors quelques heures plus tard chez mes grands-parents j’avais froid, je tremblais. Il faisait nuit, j’espère que cette porte s’ouvre et quelques secondes après cette porte blanche s’ouvrit laissant place à une petite dame assez âgés. Ils savaient très bien qu’ils allaient recevoir ma visite car mes parents les avais déjà appelles et ils avaient répondus qu’ils m’avaient point vue les laissant dans le doute. Je fus accueillit comme un prince, j’étais sûr de ne pas me faire traiter comme une bonne, de nettoyer la maison de faire mes devoir jusqu’à minuit pour ramener des notes. Non c’était fini. Au finale je dû rentrer chez moi même si j’avais passé plusieurs semaines chez mes grands-parents, c’était toujours le cauchemar mais je devais continuer à vivre et à me battre. Je posais et je prenais des photos de plus en plus quand j’essayai pour rire avec des amis un petit concours, et au final mon vœux se réalisa, j’avais un photographe. Je commençais à gagner de l’argent, mes parents ne le savaient pas, je continuais à grandir. A l’âge de 16 ans, je commençais è devenir connu. Je continuais mes études comme tous les autres, j’avais de plus en plus de soirée, l’alcool, le sexe et tout le reste commençait à venir. Je collectionnais en quelques sortes les femmes, j’avais mon charme mais aussi un caractère bien trempé. Et puis j’étais bien connue pour être infidèle mais personne voulais me croire. Les années passaient et quand j’eu la majorité je décidai donc de partir loin de mes parents, j’avais suffisamment d’argent pour continuer ma vie à Washington. L’endroit où je rêvais d’aller depuis mon plus jeune âge. Je fis quelques détours par Miami, et par d’autre endroit. A l’âge de 20 ans j’arrivai à Washington et je m’y installai : p. J’avais finis de visiter cette endroit, c’était une très belle ville. Mais je voulais aller partout, au finale je décidai d’aller en Nouvelle Zélande. Je partis alors pour là-bas, je trouvais un jolie village je décidai donc de m’y installer. ».